Temps de lecture : 14 min
-
Ajouter à mes favoris
L'article a été ajouté à vos favoris
- Google News
Jusqu'à ses quarante ans, Abigail Shrier menait une vie paisible. Après un début de carrière dans le droit, cette journaliste indépendante vivant à Los Angeles s'était fait une spécialité d'aborder des questions d'actualité sous un angle philosophique. Pas de quoi déchaîner les passions. Puis, un jour, elle se porta sur un étrange fait de société : dans les collèges et les lycées américains, de plus en plus d'adolescentes se déclaraient trans ou non-binaires, le plus souvent sans avoir jamais manifesté de difficulté avec leur identité ni même d'orientation sexuelle minoritaire. Loin du tableau jusque-là dressé par la communauté scientifique de la dysphorie de genre – cette souffrance, profonde, que génère l'inadéquation ressentie par un individu entre son sexe et son genre. Une réalité...
Lorsque les réseaux sociaux éduquent et formatent nos enfants, sans contrôle ni cadre. Les dégâts qui sont provoqués par ce mouvement sur de jeunes esprits immatures sont terribles ! L'horreur numérique ! Une question : qui sont les individus à l'origine de tout ça ?
Toute cette folie est amplifiée pour ne pas dire créée par les réseaux sociaux.
ceux-ci manipulent la jeunesse en les décérébrant.
J’attends de voir comment les deux minorités chéries des progressistes cohabiteront dans le monde merveilleux qu’ils nous préparent